Elections sur fond de scandales et de corruption

La vice-présidente est en prison, le président de la République vient de perdre son immunité et a été contraint à la démission, de nombreux hauts fonctionnaires sont inculpés, … La contestation populaire et les preuves accablantes de corruption portent leurs premiers résultats.

Il n’empêche, le système est à ce point gangrené qu’il ne faut pas rêver ou espérer que sorte des élections du 6 septembre un « homme providentiel » ou des changements profonds. Les candidats sont nombreux. Un 2° tour sera nécessaire en novembre.

Mais seule une solide coalition de toutes les forces populaires et indigènes pourrait déboucher, dans quelques années, sur un régime et des dirigeants réellement démocratiques et soucieux du sort de la majorité de la population. Lire l’article.