La politique de coopération au développement de la Belgique devrait intéresser tous les citoyens. Elle fait actuellement l’objet de débats qui portent plus sur les budgets (insuffisants) que sur la qualité.
Le Réseau belge d’amitié avec les jeunes de la rue et les acteurs des chantiers menés avec les jeunes au Guatemala ne sont pas indifférents à ces débats.
Ici le point de vue du président de l’asbl (publié dans le mensuel Plein Soleil, février 2018)