La coopération au développement

C’est un des choix importants le 26 mai … et (presque) personne n’en parle ! Que proposent les partis ? Qui s’engage clairement à rompre avec dix années de recul, de privatisations et de politiques plus favorables à la Belgique qu’aux pauvres des pays du Sud ?

On pourra lire ici 3 références pour mieux saisir l’importance de ces enjeux :

  • Le dossier de la Revue Nouvelle de ce mois d’avril. Un dossier solide et sévère, basé sur les données les plus récentes dans lequel on peut lire : « Le cœur de l’efficacité de l’aide au développement est qu’elle serve à améliorer la capacité des communautés de collaborer, entre elles et avec les autres, pour résoudre les grands problèmes vitaux que leur pose leur vie commune, dans un contexte économique, politique et culturel donné. En s’engageant dans une trajectoire tout autre, la coopération belge ne sera non seulement pas en mesure répondre aux besoins des populations locales, mais elle s’empêchera ainsi de lutter contre les causes profondes des inégalités mondiales, elles-mêmes sources de l’insécurité et des migrations forcées que la Belgique voudrait aujourd’hui limiter »
  • Lecture plus facile : l’article de J. Liesenborghs dans Plein Soleil du mois de février 2018  « Coopérer au développement ? Oui, mais comment ? » (A lire ici)
  • Plus spécifiquement Guatemala : « Quand le Guatemala organise l’impunité -Le pouvoir comme structure criminelle mafieuse », Le Monde Diplomatique, avril 2019. Un rappel du comment on en est arrivé à la situation actuelle.