Ou plutôt oubli de la jeunesse dans les politiques menées au Guatemala.
Et pire : traitements inhumains (comme le 8 mars au « Hogar Seguro »), sous-alimentation, faible taux de scolarisation, extrême pauvreté, …
Le document à lire a été rédigé conjointement par la JOC, le syndicat CGTG, le Mouvement paysan MTC et le Mojoca sur base des chiffres de la commission des Droits humains de l’épiscopat guatémaltèque.