Comme on pouvait s’y attendre, les Guatémaltèques (enfin ceux qui ont voté) ont porté à la présidence de la République un acteur « comique ». Rien de commun avec le regretté Coluche ! Ici, ce sont d’anciens militaires et des ultra-conservateurs qui l’ont poussé et « se cachent » derrière lui…
Le rejet des partis traditionnels corrompus a favorisé ce candidat sans passé politique … et sans programme !
Les analyses pointues de Bernard Duterme et de Gérard Lutte mettent cet épisode en perspectives. A lire toutes affaires cessantes…