Dans un rapport récent, Amnesty international écrit : « Le Guatemala, le Honduras et le Salvador sont devenus, pour ainsi dire, des zones de guerre où la vie humaine semble ne pas avoir de valeur ».
Et encore : « … les jeunes sont les plus touchés par cette violence : plus de la moitié des personnes tuées a moins de 30 ans ».
C’est dans ce contexte que se développe le travail du Mojoca avec les jeunes de la rue.