Pour le MOJOCA, le 8 mars n’est pas une date anodine. La « casa ocho de marzo », la Maison du 8 mars, accueille de jeunes mamans qui ont décidé de quitter la rue. C’est donc leur fête et celle de leurs tout petits. Celle aussi de toutes les filles du Mouvement et de toutes les amies des réseaux belges et italiens… A elles toutes ce poème de R. Tagore :
A lire aussi le très beau poème d’une femme guatémaltèque : « Eloge de mon corps ».
Un extrait pour vous donner le désir d’aller plus loin :
Le souffle
Je ne sais d’où vient le vent qui me porte, le soupir qui me console, l’air qui rythme le mouvement de ma poitrine et facilite mon invisible vol.
Je ne suis que la plante que la brise fait frémir, que l’instrument, que la flûte mélodieuse qu’un souffle de vent fait vibrer.
Pour le poème intégral, c’est ici.